Je m’appelle Marion Charzat et je suis ta coach qui rend le travail vivant. J’accompagne les leaders de leur carrière à casser les codes du travail et sortir de la norme, pour retrouver du plaisir dans chaque journée.
Je crois qu’on peut travailler sans souffrance, et que c’est même la + grande source d’épanouissement et de réalisation de soi qui existe.
Il y a eu une époque où je voulais crier sans y arriver.
Où les mots restaient coincés dans la gorge, comme une vague que je retenais trop fort.
Où j’avais peur de parler trop fort, peur de déranger, peur de sortir du cadre.
Peur de mal faire, peur d’être grondée.
Peur, tout simplement, d’être moi.
Cette peur, je la connais par cœur. Elle a traversé mon enfance, mes études, mes débuts professionnels.
J’ai grandi entre le Kenya, l’Espagne et le Costa Rica, entourée du rire de mes 3 frères, de nature, de chaleur et de couleurs. Ma joie d’enfant, c’était une joie douce et collective — celle de courir pieds nus, de rêver, de rire à plusieurs.
Et puis, à seize ans, je suis rentrée en France. Versailles, les codes, la rigueur, l’école privée, la classe prépa.
Le passage du soleil à la norme.
J’ai alors suivi le chemin qu’on dit “classique” : école de commerce, spécialisation en marketing, sans vraiment savoir pourquoi, sinon parce que c’était ce qu’il “fallait” faire.
J’ai adoré certaines choses : apprendre, présider une association artistique, voyager au Chili.
J’ai commencé ma carrière en Équateur, dans le chocolat. C’était joyeux, vibrant, avec plein de rencontres, de découvertes dans le monde du travail.
Mais quand je suis rentrée en France, tout s’est peu à peu refermé.
Le siège, les open spaces, les réunions sans fin, les décisions absurdes.
Je vendais des produits que je n’achetais pas.
J’allais à des afterworks parce qu’il “fallait être là”.
Je disais oui quand tout en moi criait non.
J’étais bonne élève, efficace, appréciée.
Et profondément éteinte.
Je faisais des migraines dans le RER, je rêvais d’air, de sens, de vie.
Et puis un jour de 2019, assise sur le canapé de mes parents après une opération à la hanche, à trente ans, je me suis dit :
“Je ne peux pas continuer comme ça jusqu’à la retraite.”
C’est là que tout a commencé à changer.
Une amie de ma mère m’a parlé de coaching.
Je n’en savais rien, mais j’ai accepté de me faire accompagner.
Et pour la première fois depuis longtemps, j’ai respiré.
J’ai compris mes schémas, mes conditionnements, mes masques.
J’ai vu à quel point j’essayais d’être forte, parfaite, aimée.
Et combien cela m’avait éloignée de ma joie, de ma vérité, de ma flamme.
Petit à petit, j’ai appris à lâcher.
À dire non.
À dire “je ne sais pas”.
À dire “j’ai besoin d’aide”.
J’ai appris à écouter mon rythme, mon corps, mes émotions.
Et j’ai commencé à danser autrement.
Moi qui avais fait quinze ans de danse classique, raide, droite, concentrée sur la perfection…je me suis vue devenir une poupée de chiffon.
Souple, libre, vivante.
C’est tout le chemin que j’ai fait, et que j’accompagne aujourd’hui :
passer de la rigidité à la vague.
Faire de l’espace pour être soi.
J’ai créé mon entreprise en 2022, sans rien savoir à l’entrepreneuriat, avec une formation au coaching, et une certitude bien présente :
que le travail pouvait redevenir vivant.
Qu’on n’était pas là pour être des machines.
Qu’on n’avait pas à choisir entre réussite et liberté, entre plaisir et sens.
Depuis, j’accompagne des personnes qui, comme moi, ont aimé leur métier avant de s’y perdre, qui ont aimé leur métier avant d’en être épuisés.
Je les aide à rallumer la flamme, à retrouver leur rythme, à réinventer leur manière d’être au monde et au travail.
À transformer la rigidité en danse, la pression en respiration, la peur en mouvement.
Et moi ?
Je continue d’apprendre. Tous les jours.
À chaque client, à chaque session, à chaque lecture, à chaque marche dans la forêt.
Je me forme, j’explore, j’affine.
Parce que c’est ça aussi, vivre : laisser le travail évoluer au rythme du vivant.
Aujourd’hui, je crée, j’écris, j’accompagne, j’écoute.
Je rêve, je ris, je doute parfois.
Mais je sens, chaque jour un peu plus, que c’est dans cet équilibre entre la structure et la vague, entre la raison et la foi, que la vie circule vraiment.
C’est de là qu’est né Work Alive.
De cette conviction que le travail n’est pas fait pour nous éteindre, mais pour nous éveiller.
Que nous pouvons tous redevenir vivants dans nos métiers, à condition de retrouver notre propre rythme, notre propre boussole, notre propre lumière.
Pour toi qui lis ces lignes,
si quelque chose en toi résonne,
si tu sens ce petit oui, discret mais profond,
alors peut-être que le Cercle Work Alive est ce point de départ.
Un espace pour respirer, te reconnecter, te rappeler que tu es vivant·e.
Et que tout commence, toujours, par un oui.
Je suis persuadée que chaque être est unique et que tu as tes propres envies, besoins, valeurs, qualités, talents, aptitudes et aussi tes propres zones d’ombres ! Je suis là pour t’aider à les identifier, les accepter et les utiliser pour te construire une vie pro à ta mesure.
J’aime observer et écouter les autres, analyser en profondeur ce qui leur arrive et les aider à se mettre en action. J’ai à cœur de délivrer un coaching de qualité, avec des outils et des exercices concrets et une écoute en profondeur.
Quand je commence quelque chose, je vais jusqu’au bout ! J’ai tendance à attendre la même chose des autres, ce qui peut me jouer des tours 🙂 Quand je coache, je me donne à 100% et je suis une béquille solide pour mes clients au début, jusqu’à ce qu’ils deviennent autonomes !